Wawa Illari
Pérou
Le point culminant pour l'année 2018 restera la participation de SD Canada à Wawa Illari, un projet qui vise à remédier au retard de développement neurologique et cognitif des enfants de 0 à 3 ans par le biais de la nutrition, des soins de santé, du soutien psychosocial et communautaire à Pachacamac, au Pérou. Financé par une subvention du gouvernement du Canada (programme Grands Défis Canada, Sauver des cerveaux), ce projet novateur réunit trois projets du réseau mondial de Susila Dharma, International Child Development (ICDP - Norvège/Royaume-Uni), Asociación Vivir (Équateur) et A Child's Garden of Peace (États-Unis). SD Canada est l'ONG canadienne qui soutient cette initiative.
Illène Pevec (Child’s Garden of Peace) raconte : "Toute notre équipe de travail est issue de Subud et cela a été une expérience fabuleuse jusqu'à présent". Le rôle d'Illène dans le projet consiste à organiser des cours de cuisine et un jardin communautaire pour permettre aux familles de cultiver leurs propres fruits et légumes. Illène a formé des éducateurs en santé communautaire (promotoras) pour soutenir les familles dans la réalisation de leurs potagers familiaux. Illène prévoit de retourner sur le terrain cet automne, où elle espère alors mener une campagne de plantation d'arbres, et aussi effectuer un décompte des légumes cultivés dans chaque foyer.
"Nous avons promis de planter un arbre par famille et quelques-uns à chaque école maternelle de la région. Nous avons déjà planté deux arbres fruitiers à l'école maternelle de Niña Maria en novembre dernier. L'école maternelle de San Juan se trouve sur une terre désolée, qui ressemble presque à un paysage lunaire, si l'on fait exception du nouveau jardin communautaire que nous avons planté juste en face. Je veux aménager deux jardins dans de grands bacs à plantes sur le patio de cette école maternelle. Nous les réaliserons à partir de palettes d'expédition. Le coût le plus important sera celui du transport de la terre. La saison de croissance au Pérou dure toute l'année et se trouve optimale en automne, en hiver et au printemps en raison du soleil brûlant en été. Heureusement que le patio est protégé et que nous avons déjà fait installer un robinet d'eau et un boyau d'arrosage. Les enseignants ont tenu à ce que cela soit fait pour pouvoir reverdir leur site".
Elle ajoute : "Les arbres n'auront pas d'impact sur la santé des enfants pendant cette période de recherche, car il leur faut du temps pour produire des fruits, mais ils auront un impact sur les familles de demain, car ils fourniront de l'ombre, des fruits et de l'espoir. Des études réalisées dans des logements publics de Chicago auprès de familles afro-américaines très pauvres ont montré qu'un arbre près de la porte d'entrée donnait de l'espoir. La vue d'un arbre à l'extérieur permet de réduire la violence. Les arbres ont un lien si profond dans notre évolution humaine qu'ils sont synonymes de sécurité, d'eau et de nourriture".
Notre grand défi : S'inscrire en grand nombre pour aider Illène et son équipe à planter des arbres fruitiers. 20 $ donnent droit à un arbre. Et cela vous permet de devenir membre de SD Canada !
Illène Pevec (Child’s Garden of Peace) raconte : "Toute notre équipe de travail est issue de Subud et cela a été une expérience fabuleuse jusqu'à présent". Le rôle d'Illène dans le projet consiste à organiser des cours de cuisine et un jardin communautaire pour permettre aux familles de cultiver leurs propres fruits et légumes. Illène a formé des éducateurs en santé communautaire (promotoras) pour soutenir les familles dans la réalisation de leurs potagers familiaux. Illène prévoit de retourner sur le terrain cet automne, où elle espère alors mener une campagne de plantation d'arbres, et aussi effectuer un décompte des légumes cultivés dans chaque foyer.
"Nous avons promis de planter un arbre par famille et quelques-uns à chaque école maternelle de la région. Nous avons déjà planté deux arbres fruitiers à l'école maternelle de Niña Maria en novembre dernier. L'école maternelle de San Juan se trouve sur une terre désolée, qui ressemble presque à un paysage lunaire, si l'on fait exception du nouveau jardin communautaire que nous avons planté juste en face. Je veux aménager deux jardins dans de grands bacs à plantes sur le patio de cette école maternelle. Nous les réaliserons à partir de palettes d'expédition. Le coût le plus important sera celui du transport de la terre. La saison de croissance au Pérou dure toute l'année et se trouve optimale en automne, en hiver et au printemps en raison du soleil brûlant en été. Heureusement que le patio est protégé et que nous avons déjà fait installer un robinet d'eau et un boyau d'arrosage. Les enseignants ont tenu à ce que cela soit fait pour pouvoir reverdir leur site".
Elle ajoute : "Les arbres n'auront pas d'impact sur la santé des enfants pendant cette période de recherche, car il leur faut du temps pour produire des fruits, mais ils auront un impact sur les familles de demain, car ils fourniront de l'ombre, des fruits et de l'espoir. Des études réalisées dans des logements publics de Chicago auprès de familles afro-américaines très pauvres ont montré qu'un arbre près de la porte d'entrée donnait de l'espoir. La vue d'un arbre à l'extérieur permet de réduire la violence. Les arbres ont un lien si profond dans notre évolution humaine qu'ils sont synonymes de sécurité, d'eau et de nourriture".
Notre grand défi : S'inscrire en grand nombre pour aider Illène et son équipe à planter des arbres fruitiers. 20 $ donnent droit à un arbre. Et cela vous permet de devenir membre de SD Canada !